Résumons un peu la situation : L’équipage est censé amener 2000 colons et une chiée d’embryons sur une colonie distante. On peut donc espérer des gens triés sur le volet, rodés à la tâche, dont le seul but est d’accomplir THE mission.
Suite à un incident éruptif solaire, le Covenant nous fait une carabistouille qui oblige l’équipage à sortir d’hibernation. Comme d’habitude, depuis Prometheus, tout ce beau monde sort d’hibernation en pleine forme et en pleine possession de ses moyens. Tous sauf un, qui résiste encore et encore à l’envahisseur… euh non. En fait c’est James Franco qui était là on se demande pourquoi, parce que si dans de nombreux rôles, il brûle littéralement la pellicule, là il est carbonisé au bout de quelques minutes.
Et soudain paf… il suffit d’un message venu d’une planète non répertoriée, non cartographiée, non étudiée, qui pourrait éventuellement être accueillante, pour détourner la mission.
Ah ben on on ne se remet pas en hibernation et on va aller s’installer sur la planète X (on apprendra plus tard que c’est la planète des ingénieurs) qui, après 5 secondes d’étude, a l’air vachement plus mieux que celle qu’on a pris le temps d’étudier en long en large et en travers et vers laquelle on envoyait 2000 colons… On s’en fout si une épidémie de chtouille interstellaire pourrait venir contaminer l’équipage et les colons qui en dépendent.
Non mais c’est quoi ces équipages à deux balles . Après les neuneus de Life Origine inconnue, on se pète la crème des irresponsables dans Alien Covenant. Ah mais non, bon sang mais c’est bien sûr : en fait les colons sont les passagers et l’équipage des trous du cul.
Bonne nouvelle, l’équipage des trous du cul atterri sur la planète et s’en va l’explorer sans scaphandre, sans système de filtration, sans protection contre un agent pathogène éventuel… Non mais allo quoi !!!. Ah mais oui c’est des trous du cul. Donc il ne respirent pas… ils ne font sûrement que chier et péter partout y compris sur l'intelligence.
Pire, nos trous du cul, se rendent compte qu’il ‘y a pas d’oiseaux ni quoi que ce soit de vivant qui se balade, mais vas y que je te continue à me balader tranquille. Un seul commentaire, on pourrait dire du commandant qu’il est con ce type hé.
Bien sûr la tempête, une constante habituelle dans ces cas là, coupe les transmissions entre la navette et les trous du cul, ce qui ne les embêtent absolument pas. Ils peuvent ainsi continuer de chier sur le bon sens et explorer.
Je passe sur le gogol qui s’éloigne de son binôme pour aller pisser en solitaire (enfin surtout pour s’en griller une, jetant au passage son mégot en pleine nature… très responsable), marchant sur tout ce qui peut être potentiellement dangereux. Et bingo il met les pieds pile où il ne faut pas…
Et paf un groupe tombe sur un vaisseau que tout le monde s’empresse d’explorer. Il s’est écrasé on ne sait pas pourquoi, mais bon autant aller voir ce qui s’y passe histoire de tomber sur la chose qui a pu provoquer le crash.
Et quoi donc, un stupide trou du cul met le nez là où il ne faut pas. Décidément.
Le gogol trou du cul (cf plus haut) semble être atteint d’un problème de santé aussi subit que soudain, chiant tout noir par la bouche. Ben on fait quoi… on le ramène à bord de la navette sans précaution aucune … Non mais si le mec avait chopé un pathogène, on vient juste de le ramener À BORD DE LA NAVETTE….
Arrive ce qui doit arriver, un exemplaire d’alien sort de gogol le trouduc (cf plus haut). Bien sûr la seule débile qui se trouve dans la même pièce décide d’aller glisser sur le sang qui s’est déversé sur le sol.
Rigolons un peu, la seule qui semblait à peu près - mais de très loin - censée à bord de la navette et qui a cloisonné l’infirmerie, décide d’y retourner, armée, afin de désouder l’alien tout frais sorti. Elle rentre dans l’infirmerie, et décide de glisser aussi sur la flaque de sang…. Running gag….
De mon côté, je glisse sur le tir au pigeon en plein sur des bonbonnes de gaz qui amènent l’explosion de la navette…
Rappelons qu’il s’agit d’un équipage recruté sûrement sur des bases élevées pour assurer une mission de colonisation. Bravo les trouducs.
Pendant ce temps le trou du cul qui met son nez où il ne faut pas s’est bien sûr senti mal et nous chie un alien aussi…
S’ensuit une joyeuse débandade ou une partie des trouducs se font joyeusement défoncer.
Arrive David l'androïde accompagné d’effets pyrotechniques. David vu dans Prométheus, assez jumeau d’un certain Walter… On sent forcément à ce moment un twist fatal dans le scénario.
Au passage, David bien mal en point à la fin de Prometheus a récupéré ses pleines fonctionnalités. Il a sûrement du trouver des pièces détachées chez le bricodépôt du coin (oué je suis juste un peu de mauvaise foi car c’est le Dr Shaw qui l’a réparé). Et il s’est offert un nouveau brushing… mais oui… incroyable.
A bord du Covenant en orbite, le restant des trouducs, censés être les garants de la protection des colons, se chamaillent, l’un d’eux souhaitant bien sûr mettre en danger le semblant de mission qui reste… Ben oui autant mettre 2000 personnes en péril pour quelques rectums bien sentis.
Et tiens David se fait une coupe et une couleur pour mieux ressembler à Walter (au passage si quelqu’un peut m’expliquer comment les cheveux d’un androïde pousse… WTF ???). Sûrement un brushing à Shaw (
)… Là encore vous le sentez venir le twist final bien téléphoné…
Je glisse (encore) sur le cour de flute donné par David à Walter où il est question d’une histoire de doigts qu’il faut mettre au niveau des bons trous. Si ça avait pu servir à libérer les trous du cul manifestement bouchés par un fécalome, on aurait pu les rendre plus intelligents. S’ensuit une série de discussions pseudo philosophiques à deux balles (un conseil, Fassbender, casse toi de cette bouse).
Les mémoires de David nous font surfer très vite sur l’arrivée du Donut géant qui amène l'androïde sur la planète (X) des ingénieurs rapidement décimés par une peste noire libérée par notre synthétique préféré. Si on avait pu apprendre quelque chose d’instructif sur les ingénieurs, c’est foutu. Ridley Scott a décidé qu’ils n’avaient plus besoin d’être dans le film ni dans la saga. Il tire donc la chasse aussi vite que possible histoire de ne pas voir trop la merde du scénario.
Intermède détente / rafraîchissement avec une donzelle qu’on devine rapidement être la victime suivante puisqu’elle a décidé d’aller faire sa toilette toute seule dans un coin isolé au mépris de toute règle de sécurité…
Pendant ce temps les trois derniers trouducs à bord du Covenant, sûrement dénués de tout bon sens, décident d’aller au secours des rectums explorateurs qui ont été décimés sans savoir la nature même ni la cause des morts… Non on ne rêve pas. Ces gens là ont bien été formés pour des missions interstellaires.
Entre parenthèses, l’équipage est composé de plusieurs couples… ce qui n’est pas forcément une bonne idée au final, puisque si l’on réfléchit bien, les facteurs affectifs peuvent venir perturber le déroulement d’une mission. En plus d’avoir recruté des trous du cul, les responsables de la mission sont crétins. Mais qui donc a imaginé le scénario ?
Cerise sur le gâteau, le capitaine décérébré des trous du cul, se laisse aller à suivre David pour un cour sur la phylogenèse des aliens avant de se faire bouffer la tronche par... un alien sorti tout droit d’un oeuf. S’ensuit un accouchement par le thorax de notre bébête préférée. Tous plus cons les uns que les autres, incroyable.
Un rapide coup d’oeil à la miss Shaw qui semble avoir toussé un peu fort, vu que son cadavre momifié est un peu ouvert du thorax. Son rôle n’avait malheureusement pas été reconduit.
Le twist final est en marche, après un long débat, David déconnecte Walter pour lui prendre sa place. Noooooooooooon, incroyable comment ça n’était pas téléphoné.
Après l’élimination progressive de quelques uns des derniers trous du cul par des aliens, Walter revient pour un ultime baroud d’honneur qui semble avoir réussi (enfin on le pense… mais un cerveau fécond imagine bien qu’il y a anguille sous roche)...
Une navette vient récupérer deux survivants : le "fantôme de l’opéra" et Daniels, la "nouvelle Ripley", accompagnés de Walter (non mais, vous êtes sûr que c’est Walter ?), embarquant au passage un alien un peu forte tête qu’il faudra finir à coup de pelleteuse.
Retour sur le Covenant avec le restant de l’équipage qui a bien morflé. Et surtout une forme de vie non identifiée. véhiculée par le fantôme de l’opéra. Cette forme de vie s’empresse d’aller visiter les douches au cas où un quelqu’un y ferait sa toilette… Bingo… Deux trous du cul de moins.
Psychose a marqué des générations de cinéastes…
Combat final entre les deux rescapés et la bébête qui finit dans l’espace dans une scène rappelant un peu Aliens.
Walter (non mais vous êtes sûr que c’est lui ?) chante une berceuse aux deux rescapés. Ripley 2 se rend compte juste avant l’hibernation que Walter est en fait David (il n’est jamais trop tard pour bien faire… sauf que là il est trop tard…)… Le voilà, débarrassé des derniers trous du cul, face à 2000 colons qu’il va sûrement
sodomiser inséminer de quelques larves d’aliens qu’il va gentiment ranger en compagnie des embryons.
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, mais ressemble a un remake pour l instant 
, découverte de la planète avec atterrissage bordeline , découverte d oeufs , contamination , isolation , explosion interne du contaminer par l Alien , et commencent de l extermination des occupants du vaisseau , et la scène de la douche rapelle le viol d une protagoniste du premier en moins subtil et plus gore .................
ça me fait douter tout ça....
