Quand on a mon age cela signifie qu'on avait environ 25 ans que le premier Blade Runner est sorti au cinéma.
25 ans et toute la vie devant soit, avec comme possibilité de vivre comme Deckard dans le futur avec des véhicules qui volent et des réplicants qui agrémentent nos vies.
Le temps a fait son oeuvre, les années sont passées et malgré les rêves évanouis, le plaisir est intact de retrouver Harrison Ford, les décors délavés et post apocalyptiques d'un Los Angeles fidèle à mes souvenirs.
J'avais peur d'être déçu, de ne pas retrouver l'ambiance si particulière du premier film. Ma déception ne concernera que la BO qui me semble trop "sourde" et qui a tendance à saturer plus qu' à magnifier comme l'avait si bien compris Vangélis en son temps.
Le scénario est crédible et parvient à nous faire envisager cette suite comme une véritable complémentarité sans jouer sur une émotion dupliquée au premier film.
Une autre émotion donc à vivre, plus de 35 années après le cultissime Blade Runner, un moment presqu' aussi rare et intense que pour mes 25 ans, avec l'âge et le recul en plus.
Parlons si vous voulez bien de ce qui à mon sens est un peu moins bon.
Le fait que l'intrigue ne concerne que les deux acteurs principaux en ne donnant aucune chance aux second voir troisième rôles qui avait fait le relief de l'oeuvre originale et son aspect surprenant, traçant pour toujours une nouvelle réflexion sur l'importance de traiter toutes les différences du monde en moins de deux heures.
A la fin de la séance je peux répondre à la question que les fans se sont sans doute posés. Fallait-il réaliser une suite à Blade Runner ?
Oui pour l'émotion, oui pour les images, avec un regret pour une bande originale qui n'apporte pas la poésie tant ressentie lors du premier film.
25 ans et toute la vie devant soit, avec comme possibilité de vivre comme Deckard dans le futur avec des véhicules qui volent et des réplicants qui agrémentent nos vies.
Le temps a fait son oeuvre, les années sont passées et malgré les rêves évanouis, le plaisir est intact de retrouver Harrison Ford, les décors délavés et post apocalyptiques d'un Los Angeles fidèle à mes souvenirs.
J'avais peur d'être déçu, de ne pas retrouver l'ambiance si particulière du premier film. Ma déception ne concernera que la BO qui me semble trop "sourde" et qui a tendance à saturer plus qu' à magnifier comme l'avait si bien compris Vangélis en son temps.
Le scénario est crédible et parvient à nous faire envisager cette suite comme une véritable complémentarité sans jouer sur une émotion dupliquée au premier film.
Une autre émotion donc à vivre, plus de 35 années après le cultissime Blade Runner, un moment presqu' aussi rare et intense que pour mes 25 ans, avec l'âge et le recul en plus.
Parlons si vous voulez bien de ce qui à mon sens est un peu moins bon.
Le fait que l'intrigue ne concerne que les deux acteurs principaux en ne donnant aucune chance aux second voir troisième rôles qui avait fait le relief de l'oeuvre originale et son aspect surprenant, traçant pour toujours une nouvelle réflexion sur l'importance de traiter toutes les différences du monde en moins de deux heures.
A la fin de la séance je peux répondre à la question que les fans se sont sans doute posés. Fallait-il réaliser une suite à Blade Runner ?
Oui pour l'émotion, oui pour les images, avec un regret pour une bande originale qui n'apporte pas la poésie tant ressentie lors du premier film.