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"Wesley Gibson est un employé de bureau terne et sans envergure ; se percevant lui-même comme un loser, il accepte sans se rebiffer les infidélités de sa petite amie et les humiliations de son chef de service. Lorsque son père meurt, il apprend que c'était un redoutable tueur à gages au service de « La Fraternité », une organisation mondiale de super-vilains. Il est recruté par Fox, une jolie voleuse de bijoux, pour marcher sur les traces de son père et prendre sa place au sein de La Fraternité."
Réalisée en 2003 par Mark Millar (scénario), J.G. Jones (dessin) et Paul Mounts (couleur) , le dessinateur me fait beaucoup penser dans son style à Bryan Hitch (ultimates ) et j'aime beaucoup.
Dans l'histoire , Millar se lache mais alors totalement , ce comics étant surement le plus violent que j'ai pu lire autant dans les propos trés vulgaire et crus que dans la violence des actions et des personnages.
Le début est trés prennant , on rentre de suite dans l'histoire et ce récit nous change radicalement de nos lectures habituelles.
Vers le milieu du récit nous revenons vers une histoire plus conventionnelle , la surprise arrivant vers la fin et surtout à la dernière page , ou le personnage principal s'adressant à nous depuis le début , nous balance un dernier message qui fera sourrire certains (moi) ou bien qui en agacera plus d'un.
"Wesley Gibson est un employé de bureau terne et sans envergure ; se percevant lui-même comme un loser, il accepte sans se rebiffer les infidélités de sa petite amie et les humiliations de son chef de service. Lorsque son père meurt, il apprend que c'était un redoutable tueur à gages au service de « La Fraternité », une organisation mondiale de super-vilains. Il est recruté par Fox, une jolie voleuse de bijoux, pour marcher sur les traces de son père et prendre sa place au sein de La Fraternité."
Réalisée en 2003 par Mark Millar (scénario), J.G. Jones (dessin) et Paul Mounts (couleur) , le dessinateur me fait beaucoup penser dans son style à Bryan Hitch (ultimates ) et j'aime beaucoup.
Dans l'histoire , Millar se lache mais alors totalement , ce comics étant surement le plus violent que j'ai pu lire autant dans les propos trés vulgaire et crus que dans la violence des actions et des personnages.
Le début est trés prennant , on rentre de suite dans l'histoire et ce récit nous change radicalement de nos lectures habituelles.
Vers le milieu du récit nous revenons vers une histoire plus conventionnelle , la surprise arrivant vers la fin et surtout à la dernière page , ou le personnage principal s'adressant à nous depuis le début , nous balance un dernier message qui fera sourrire certains (moi) ou bien qui en agacera plus d'un.
