The Nun
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Quand on apprend le suicide d'une jeune nonne dans une abbaye roumaine, la stupéfaction est totale dans l'Église catholique. Le Vatican missionne aussitôt un prêtre au passé trouble et une novice pour mener l'enquête. Risquant leur vie, les deux ecclésiastiques doivent affronter une force maléfique qui bouscule leur foi et menace de détruire leur âme. Bientôt, l'abbaye est en proie à une lutte sans merci entre les vivants et les damnés…
Date de sortie 19 septembre 2018 (1h 37min)
De Corin Hardy
Avec Taissa Farmiga, Demian Bichir, Jonas Bloquet, Bonnie Aarons
Genre Epouvante-horreur
Nationalité Américain
Une saga horrifique florissante :
La Nonne est un spin-off centré sur la religieuse au visage livide, alias Valak, qu'ont dû combattre les époux Warren dans Conjuring 2 : le cas Enfield. Il s'agit du deuxième spin-off des films Conjuring après Annabelle, centré sur la fameuse poupée maléfique. Une suite intitulée Annabelle 2 : La création du mal a vu le jour en 2017.
Du sanctuaire au couvent :
Le réalisateur Corin Hardy s'était déjà frotté au registre horrifique avec Le Sanctuaire. Les producteurs James Wan et Peter Safran l'ont sollicité pour mettre en scène La Nonne après avoir vu son premier film : "On adorait tous le film de Corin et on se disait qu'il était l'homme de la situation. C'est un formidable réalisateur qui fait un cinéma axé sur la psychologie des personnages, et il savait insuffler une vraie tension et créer des scènes terrifiantes destinées à faire hurler le spectateur !"
Un habitué du genre :
Le scénariste Gary Dauberman a signé les scripts d'Annabelle et d'Annabelle 2 : La création du mal où la Nonne maléfique fait une brève apparition. Le réalisateur déclare à son sujet : "Gary est un auteur extrêmement doué et il connaît très bien les codes du genre parce que, tout comme moi, il adore l'horreur et que sa passion est palpable. Il a su trouver l'équilibre entre de formidables concepts et des personnages fascinants qui se retrouvent face à des perspectives terrifiantes. Dans cette histoire, on est captivé de la première à la dernière image".
Un tournage cauchemardesque !
L'actrice Taissa Farmiga s'est tellement imprégnée de son personnage qu'elle a souffert de cauchemars tout au long du tournage. Le réalisateur rapporte : "Taissa est une comédienne de grand talent et en imaginant les peurs qu'éprouve son personnage, elle a constamment été assaillie par des visions terrifiantes et traumatisantes. Elle n'a vraiment pas ménagé ses efforts pour interpréter les terreurs de Soeur Irene si bien que le spectateur les ressent, lui aussi. Je lui en suis éternellement reconnaissant".
Un "Frenchie" au casting :
La production a engagé l'acteur français Jonas Bloquet pour incarner le Québécois superstitieux surnommé "Frenchie". On a pu croiser le comédien dans Elle où il interprète le fils d'Isabelle Huppert.
Abonnée aux rôles effrayants :
Bonnie Aarons, qui incarne la terrifiante nonne, n'en est pas à son premier rôle effrayant. C'est en effet elle qui se cache sous le déguisement du clochard dans Mulholland Drive, lors de la scène du diner.
Pour l'équipe, il était évident qu'Aarons devait reprendre son rôle de nonne après Conjuring 2 : Le Cas Enfield. Le producteur Peter Safran déclare : "James savait précisément le style qu'il voulait donner à la Nonne maléfique. On a rencontré pas mal de comédiennes, mais dès qu'on a vu Bonnie, et qu'on a remarqué la morphologie frappante de son visage, on s'est tous dit, 'C'est exactement ce qu'on veut. Elle doit jouer le rôle'".
Presque bonne sœur :
Vue dans Toni Erdmann, l'actrice roumaine Ingrid Bisu joue Soeur Oana. Fait amusant : la comédienne a elle-même brièvement envisagé d'entrer dans les ordres quand elle était plus jeune. Pour se préparer au rôle, elle a visité des monastères et a gardé le silence pendant des heures. Sur le plateau, elle avait des écouteurs à portée de main pour entendre des prières : "J'ai compris à quel point le silence importait dans cet univers cloîtré."
Direction la Transylvanie :
La Nonne a été entièrement tourné en Roumanie, en décors réels à Bucarest et dans ses environs, ainsi qu'en Transylvanie. Deux châteaux du XIVème siècle et un fort médiéval abandonné ont notamment été utilisés par la production. Celle-ci a également tourné à Sighişoara, lieu de naissance de Vlad l'Empaleur, alias le comte de Dracula ; au palais de Mogoşoaia, qui a campé l'hôpital St Vincent où se rencontrent le père Burke et Soeur Irene ; et au Palais du Parlement de Bucarest qui a été utilisé pour le Vatican.
Bucarest :
Bien qu'une grande partie du long-métrage a été filmée en Transylvanie, certains intérieurs ont été construits dans les studios de Castel Films, à Bucarest. C'est là qu'a été érigée l'église de l'abbaye de St Carta car la Roumanie interdit de tourner à l'intérieur d'une véritable église. Le bâtiment s'inspire de la paroisse de Chiddingly, dans le village du Sussex où le réalisateur a grandi.
L'esthétique :
Si La Nonne affiche une esthétique gothique, il fallait toutefois que le long-métrage s'inscrive dans la tradition des films de la saga Conjuring. Le directeur de la photographie Maxime Alexandre explique : "Quelle que soit l'époque où se déroule l'intrigue, on retrouve des codes de mise en scène qu'a définis James [Wan] dès le premier film. Je pense notamment aux plans-séquences ou à la volonté de tourner les scènes sans recours aux effets numériques. Corin s'est approprié ces codes".
Les décors :
La production s'est installée dans deux châteaux situés en Transylvanie, le château des Corvin à Hunedoara et le château de Bethlen à Cris.
L'entrée du premier a été réaménagée par la chef décoratrice Jennifer Spence. Alors qu'on accède à la bâtisse par un long pont sous lequel se trouvent des douves, l'équipe a imaginé un nouveau point d'accès à l'arrière du bâtiment. Elle a nivelé le terrain pour construire la charpente, puis a réalisé un moulage de l'une des murailles du château pour fabriquer de nouvelles parties de murs en pierre d'une texture semblable afin que celles-ci se fondent aux murs d'origine. Des artisans de la région ont été engagés pour construire les énormes marches en pierre où l'on découvre le cadavre de la religieuse. Les propriétaires du site étaient tellement satisfaits de cette extension qu'ils ont souhaité la conserver à l'identique.
Tous les arbres ont été acheminés sur place et plantés pour instaurer une atmosphère inquiétante et des centaines de croix ont été installées. En outre, l'équipe de la chef-décoratrice a construit une statue de la Vierge Marie dans la cour de l'abbaye, également tournée au château des Corvin. Quant aux intérieurs, ils ont été habillés par des accessoires et des meubles trouvés à Vienne et en Roumanie.
Le château des Corvin ne disposant pas d'un espace suffisant, l'équipe a utilisé le château de Bethlen, conçu par le même architecte médiéval. C'est là qu'ont été tournées les scènes de couvent où le père Burke et Soeur Irene sont censés passer la nuit. Les pièces étaient en désordre et non meublées et certaines fenêtres ne s'ouvraient pas. Là encore, des ouvriers locaux ont été appelés pour construire des fenêtres et des portes.
La production a également choisi le Fort de Mogoșoaia lors des repérages en Transylvanie. Il s'agit d'un complexe militaire désaffecté abritant les tunnels de l'abbaye qui mènent à la crypte.
Une bénédiction contrariée :
À l'instar des autres films de la saga Conjuring, un prêtre orthodoxe, le père Cosmin, est venu sur le tournage pour bénir le plateau, à la demande de la production. Mais c'était sans compter sur la présence d'un troupeau de chèvres qui bloquait la circulation ce jour-là. Toute l'équipe a dû patienter avant de pouvoir rejoindre le tournage.
Détail morbide :
Dans la chambre funéraire de l'église de l'abbaye de St Carta, on peut voir quatre tombes ornées de masques mortuaires. Ces derniers ont été réalisés à partir des moulages des visages de Corin Hardy, du scénariste Gary Dauberman, du directeur de la photographie Maxime Alexandre et du producteur exécutif Michael Clear. Un cinquième masque mortuaire accroché au mur est quant à lui façonné à partir du visage du premier assistant réalisateur Harry Boyd.
Clins d’œil :
Tout au long du tournage, on remarque plusieurs clins d'oeil à la saga Conjuring, comme la photo d'un groupe de nonnes et d'une croix tirée d'Annabelle 2 : La Création du mal. La chef-décoratrice a dissimulé le mot "Valak" dans les décors. Les spectateurs les plus attentifs le décèleront dans les arbres de la forêt, dans l'encadrement de la fenêtre de Soeur Victoria, sur la plaque d'immatriculation du fourgon à bagages et dans plusieurs objets suspendus à Criş.
Sœurs de sang :
Taissa Farmiga n'est autre que la petite soeur de Vera Farmiga, l'interprète de Lorraine Warren dans la saga Conjuring.
Âmes sensibles, s'abstenir :
Un teaser du film a été mis en ligne sur YouTube puis retiré suite aux plaintes de nombreux utilisateurs effrayés. La vidéo, qui ne dure que cinq secondes, donne l'illusion d'une erreur de chargement avant que la nonne ne surgisse à l'écran. Ce jumpscare n'a pas été du goût des internautes auprès desquels la plateforme s'est excusée.
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Quand on apprend le suicide d'une jeune nonne dans une abbaye roumaine, la stupéfaction est totale dans l'Église catholique. Le Vatican missionne aussitôt un prêtre au passé trouble et une novice pour mener l'enquête. Risquant leur vie, les deux ecclésiastiques doivent affronter une force maléfique qui bouscule leur foi et menace de détruire leur âme. Bientôt, l'abbaye est en proie à une lutte sans merci entre les vivants et les damnés…
Date de sortie 19 septembre 2018 (1h 37min)
De Corin Hardy
Avec Taissa Farmiga, Demian Bichir, Jonas Bloquet, Bonnie Aarons
Genre Epouvante-horreur
Nationalité Américain
Une saga horrifique florissante :
La Nonne est un spin-off centré sur la religieuse au visage livide, alias Valak, qu'ont dû combattre les époux Warren dans Conjuring 2 : le cas Enfield. Il s'agit du deuxième spin-off des films Conjuring après Annabelle, centré sur la fameuse poupée maléfique. Une suite intitulée Annabelle 2 : La création du mal a vu le jour en 2017.
Du sanctuaire au couvent :
Le réalisateur Corin Hardy s'était déjà frotté au registre horrifique avec Le Sanctuaire. Les producteurs James Wan et Peter Safran l'ont sollicité pour mettre en scène La Nonne après avoir vu son premier film : "On adorait tous le film de Corin et on se disait qu'il était l'homme de la situation. C'est un formidable réalisateur qui fait un cinéma axé sur la psychologie des personnages, et il savait insuffler une vraie tension et créer des scènes terrifiantes destinées à faire hurler le spectateur !"
Un habitué du genre :
Le scénariste Gary Dauberman a signé les scripts d'Annabelle et d'Annabelle 2 : La création du mal où la Nonne maléfique fait une brève apparition. Le réalisateur déclare à son sujet : "Gary est un auteur extrêmement doué et il connaît très bien les codes du genre parce que, tout comme moi, il adore l'horreur et que sa passion est palpable. Il a su trouver l'équilibre entre de formidables concepts et des personnages fascinants qui se retrouvent face à des perspectives terrifiantes. Dans cette histoire, on est captivé de la première à la dernière image".
Un tournage cauchemardesque !
L'actrice Taissa Farmiga s'est tellement imprégnée de son personnage qu'elle a souffert de cauchemars tout au long du tournage. Le réalisateur rapporte : "Taissa est une comédienne de grand talent et en imaginant les peurs qu'éprouve son personnage, elle a constamment été assaillie par des visions terrifiantes et traumatisantes. Elle n'a vraiment pas ménagé ses efforts pour interpréter les terreurs de Soeur Irene si bien que le spectateur les ressent, lui aussi. Je lui en suis éternellement reconnaissant".
Un "Frenchie" au casting :
La production a engagé l'acteur français Jonas Bloquet pour incarner le Québécois superstitieux surnommé "Frenchie". On a pu croiser le comédien dans Elle où il interprète le fils d'Isabelle Huppert.
Abonnée aux rôles effrayants :
Bonnie Aarons, qui incarne la terrifiante nonne, n'en est pas à son premier rôle effrayant. C'est en effet elle qui se cache sous le déguisement du clochard dans Mulholland Drive, lors de la scène du diner.
Pour l'équipe, il était évident qu'Aarons devait reprendre son rôle de nonne après Conjuring 2 : Le Cas Enfield. Le producteur Peter Safran déclare : "James savait précisément le style qu'il voulait donner à la Nonne maléfique. On a rencontré pas mal de comédiennes, mais dès qu'on a vu Bonnie, et qu'on a remarqué la morphologie frappante de son visage, on s'est tous dit, 'C'est exactement ce qu'on veut. Elle doit jouer le rôle'".
Presque bonne sœur :
Vue dans Toni Erdmann, l'actrice roumaine Ingrid Bisu joue Soeur Oana. Fait amusant : la comédienne a elle-même brièvement envisagé d'entrer dans les ordres quand elle était plus jeune. Pour se préparer au rôle, elle a visité des monastères et a gardé le silence pendant des heures. Sur le plateau, elle avait des écouteurs à portée de main pour entendre des prières : "J'ai compris à quel point le silence importait dans cet univers cloîtré."
Direction la Transylvanie :
La Nonne a été entièrement tourné en Roumanie, en décors réels à Bucarest et dans ses environs, ainsi qu'en Transylvanie. Deux châteaux du XIVème siècle et un fort médiéval abandonné ont notamment été utilisés par la production. Celle-ci a également tourné à Sighişoara, lieu de naissance de Vlad l'Empaleur, alias le comte de Dracula ; au palais de Mogoşoaia, qui a campé l'hôpital St Vincent où se rencontrent le père Burke et Soeur Irene ; et au Palais du Parlement de Bucarest qui a été utilisé pour le Vatican.
Bucarest :
Bien qu'une grande partie du long-métrage a été filmée en Transylvanie, certains intérieurs ont été construits dans les studios de Castel Films, à Bucarest. C'est là qu'a été érigée l'église de l'abbaye de St Carta car la Roumanie interdit de tourner à l'intérieur d'une véritable église. Le bâtiment s'inspire de la paroisse de Chiddingly, dans le village du Sussex où le réalisateur a grandi.
L'esthétique :
Si La Nonne affiche une esthétique gothique, il fallait toutefois que le long-métrage s'inscrive dans la tradition des films de la saga Conjuring. Le directeur de la photographie Maxime Alexandre explique : "Quelle que soit l'époque où se déroule l'intrigue, on retrouve des codes de mise en scène qu'a définis James [Wan] dès le premier film. Je pense notamment aux plans-séquences ou à la volonté de tourner les scènes sans recours aux effets numériques. Corin s'est approprié ces codes".
Les décors :
La production s'est installée dans deux châteaux situés en Transylvanie, le château des Corvin à Hunedoara et le château de Bethlen à Cris.
L'entrée du premier a été réaménagée par la chef décoratrice Jennifer Spence. Alors qu'on accède à la bâtisse par un long pont sous lequel se trouvent des douves, l'équipe a imaginé un nouveau point d'accès à l'arrière du bâtiment. Elle a nivelé le terrain pour construire la charpente, puis a réalisé un moulage de l'une des murailles du château pour fabriquer de nouvelles parties de murs en pierre d'une texture semblable afin que celles-ci se fondent aux murs d'origine. Des artisans de la région ont été engagés pour construire les énormes marches en pierre où l'on découvre le cadavre de la religieuse. Les propriétaires du site étaient tellement satisfaits de cette extension qu'ils ont souhaité la conserver à l'identique.
Tous les arbres ont été acheminés sur place et plantés pour instaurer une atmosphère inquiétante et des centaines de croix ont été installées. En outre, l'équipe de la chef-décoratrice a construit une statue de la Vierge Marie dans la cour de l'abbaye, également tournée au château des Corvin. Quant aux intérieurs, ils ont été habillés par des accessoires et des meubles trouvés à Vienne et en Roumanie.
Le château des Corvin ne disposant pas d'un espace suffisant, l'équipe a utilisé le château de Bethlen, conçu par le même architecte médiéval. C'est là qu'ont été tournées les scènes de couvent où le père Burke et Soeur Irene sont censés passer la nuit. Les pièces étaient en désordre et non meublées et certaines fenêtres ne s'ouvraient pas. Là encore, des ouvriers locaux ont été appelés pour construire des fenêtres et des portes.
La production a également choisi le Fort de Mogoșoaia lors des repérages en Transylvanie. Il s'agit d'un complexe militaire désaffecté abritant les tunnels de l'abbaye qui mènent à la crypte.
Une bénédiction contrariée :
À l'instar des autres films de la saga Conjuring, un prêtre orthodoxe, le père Cosmin, est venu sur le tournage pour bénir le plateau, à la demande de la production. Mais c'était sans compter sur la présence d'un troupeau de chèvres qui bloquait la circulation ce jour-là. Toute l'équipe a dû patienter avant de pouvoir rejoindre le tournage.
Détail morbide :
Dans la chambre funéraire de l'église de l'abbaye de St Carta, on peut voir quatre tombes ornées de masques mortuaires. Ces derniers ont été réalisés à partir des moulages des visages de Corin Hardy, du scénariste Gary Dauberman, du directeur de la photographie Maxime Alexandre et du producteur exécutif Michael Clear. Un cinquième masque mortuaire accroché au mur est quant à lui façonné à partir du visage du premier assistant réalisateur Harry Boyd.
Clins d’œil :
Tout au long du tournage, on remarque plusieurs clins d'oeil à la saga Conjuring, comme la photo d'un groupe de nonnes et d'une croix tirée d'Annabelle 2 : La Création du mal. La chef-décoratrice a dissimulé le mot "Valak" dans les décors. Les spectateurs les plus attentifs le décèleront dans les arbres de la forêt, dans l'encadrement de la fenêtre de Soeur Victoria, sur la plaque d'immatriculation du fourgon à bagages et dans plusieurs objets suspendus à Criş.
Sœurs de sang :
Taissa Farmiga n'est autre que la petite soeur de Vera Farmiga, l'interprète de Lorraine Warren dans la saga Conjuring.
Âmes sensibles, s'abstenir :
Un teaser du film a été mis en ligne sur YouTube puis retiré suite aux plaintes de nombreux utilisateurs effrayés. La vidéo, qui ne dure que cinq secondes, donne l'illusion d'une erreur de chargement avant que la nonne ne surgisse à l'écran. Ce jumpscare n'a pas été du goût des internautes auprès desquels la plateforme s'est excusée.