une jeune chasseuse affirme avoir rencontré un spécimen dans un parc fréquenté par des familles…
Andréa en est sûre : c’est avec un loup, un vrai, que la jeune femme s’est retrouvée nez à nez, samedi dans le parc départemental de la Valmasque. Un espace forestier naturel visité par des familles et situé près du littoral des Alpes-Maritimes. Aux portes de Cannes et d’Antibes.
La jeune chasseuse de 24 ans, qui participait à une battue administrative aux sangliers lors de cette rencontre impromptue, explique à Nice-Matin avoir pu approcher l’animal à dix mètres. « On s’est fixé pendant quelques secondes. J’ai eu peur, j’ai trébuché en reculant et il est parti », raconte-t-elle, précisant avoir tenté de prévenir les autres chasseurs sans que ces derniers ne la prennent « au sérieux ».
Depuis, le canidé n’a pas été revu. Mais un élément intrigue… Dix jours plus tôt, une carcasse de sanglier avait été découverte dans le parc et son décès paraissait « suspect », selon le président de la fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes. « Le prédateur qui a tué cette bête avait toutes les caractéristiques du loup », avance Jean-Pierre Caujolle.
Le responsable redoute que des spécimens n’approchent ainsi des habitations. « Ce sont des animaux sauvages, mais certains n’ont pas peur de l’homme. C’est une situation qui risque de se reproduire de plus en plus régulièrement » a-t-il dit à Nice-Matin.
Le parc de la Valmasque j'y suis souvent pour mes balades photos et à part des individus mal embouchés je n'ai jamais aperçu le grand méchant loup...
Andréa en est sûre : c’est avec un loup, un vrai, que la jeune femme s’est retrouvée nez à nez, samedi dans le parc départemental de la Valmasque. Un espace forestier naturel visité par des familles et situé près du littoral des Alpes-Maritimes. Aux portes de Cannes et d’Antibes.
La jeune chasseuse de 24 ans, qui participait à une battue administrative aux sangliers lors de cette rencontre impromptue, explique à Nice-Matin avoir pu approcher l’animal à dix mètres. « On s’est fixé pendant quelques secondes. J’ai eu peur, j’ai trébuché en reculant et il est parti », raconte-t-elle, précisant avoir tenté de prévenir les autres chasseurs sans que ces derniers ne la prennent « au sérieux ».
« Je ne l’ai pas confondu avec un renard »
« Pourtant j’ai passé mon permis de chasse il y a deux ans, je sais reconnaître les espèces. J’ai même déjà été voir les loups dans le Mercantour. Alors non, je ne l’ai pas confondu avec un renard », a-t-elle argué auprès du quotidien régional.Depuis, le canidé n’a pas été revu. Mais un élément intrigue… Dix jours plus tôt, une carcasse de sanglier avait été découverte dans le parc et son décès paraissait « suspect », selon le président de la fédération des chasseurs des Alpes-Maritimes. « Le prédateur qui a tué cette bête avait toutes les caractéristiques du loup », avance Jean-Pierre Caujolle.
« Certains n’ont pas peur de l’homme »
Le responsable redoute que des spécimens n’approchent ainsi des habitations. « Ce sont des animaux sauvages, mais certains n’ont pas peur de l’homme. C’est une situation qui risque de se reproduire de plus en plus régulièrement » a-t-il dit à Nice-Matin.
Le parc de la Valmasque j'y suis souvent pour mes balades photos et à part des individus mal embouchés je n'ai jamais aperçu le grand méchant loup...