Jusqu’au milieu des années quatre-vingt-dix, l’imaginaire collectif se représentait l’an deux-mille comme un triomphe de modernité. Un paradis technologique où la machine aurait réglé l’ensemble des maux de la Terre, et où l’Homme libéré de toute contingence matérielle saurait se destiner à de plus hautes vocations. La science-fiction d’Hollywood annonçait des capsules individuelles sillonnant les airs entre les gratte-ciels, des cybers-programmes stimulant les capacités cérébrales et des véhicules à remonter le temps.
La propagande était si bonne que le public en redemandait… Bientôt dix-sept ans après les douze coups de l’heure fatidique, l’humanité ne semble pas encore tout à fait remise de sa gueule de bois.
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La propagande était si bonne que le public en redemandait… Bientôt dix-sept ans après les douze coups de l’heure fatidique, l’humanité ne semble pas encore tout à fait remise de sa gueule de bois.
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