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2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Agalnarok- Ultime collector
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- Message n°76
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
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le Gardien- Admin
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- Message n°77
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Tout a fait Steph , un très grand acteur et qui a su se transformer en Wilson Fisk que j'ai toujours eu en têteLogan a écrit:Ces quelques images prouvent que D'onofrio est un excellent choix pour jouer le Caîd, physiquement il en impose et il sait être bien barré
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Marvel Wars- Complétiste collector
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- Message n°78
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
darthstitch a écrit:Bien trash niveau combat, sombre à souhait, très étonnant pour une série TV
Une série TV Netflix, ce qui veut dire pas de chaine débile derrière pour dire "oulala non ça c'est trop violent les petits n'enfants vont pas pouvoir regarder, les audiences vont pas être assez élevés, on va pas avoir assez d'argent pour partir en vacances sur une île cette été !!!"
darthstitch- Membre d'honneur
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- Message n°79
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Marvel Wars a écrit:darthstitch a écrit:Bien trash niveau combat, sombre à souhait, très étonnant pour une série TV
Une série TV Netflix, ce qui veut dire pas de chaine débile derrière pour dire "oulala non ça c'est trop violent les petits n'enfants vont pas pouvoir regarder, les audiences vont pas être assez élevés, on va pas avoir assez d'argent pour partir en vacances sur une île cette été !!!"
Justement c'est ce qui manquait dans les paysages audiovisuel, enfin une série plus "adultes"
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- Message n°80
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Je viens de visionner le teaser, et ça a l'air bien. J'attends avec impatience.
king of thunder- Statues collector
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- Message n°81
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
C est l acteur Matt Gerald ( Avatar , Dexter ....) qui sera Melvin Potter le Gladiateur
Galactus- Membre d'honneur
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- Message n°82
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Marvel Wars a écrit:darthstitch a écrit:Bien trash niveau combat, sombre à souhait, très étonnant pour une série TV
Une série TV Netflix, ce qui veut dire pas de chaine débile derrière pour dire "oulala non ça c'est trop violent les petits n'enfants vont pas pouvoir regarder, les audiences vont pas être assez élevés, on va pas avoir assez d'argent pour partir en vacances sur une île cette été !!!"
je viens de m'abonner, perso, je m'éclate !
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Agalnarok- Ultime collector
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- Message n°83
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
J'hésite encore moi mais avec ma connexion du moyen age je ne suis pas sur que ca vaille le coup
the liar- Complétiste collector
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- Message n°84
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
je me fais la même réflexion que toi
à la campagne la connexion pète pas un roupie en général
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ynko- Ultime collector
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- Message n°85
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
c'est sur dans les vignes on doit pas capter grand chosethe liar a écrit:je me fais la même réflexion que toi
à la campagne la connexion pète pas un roupie en général
Avengers- Supreme collector
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- Message n°86
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
moi je vais attendre qu'il passe sur une chaine que j'ai déjà ,j'ai assez d'abonnements comme ça
jarvis69- Admin
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- Message n°87
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Regardez bien la tour au fond au début et la flaque devant Matt a la fin .......
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jarvis69- Admin
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- Message n°88
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Un entretien ( en VO ) avec Scott Glenn / Stick
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- Message n°89
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
king of thunder- Statues collector
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- Message n°90
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
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- Message n°91
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Publicité tv pour DD
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Agalnarok- Ultime collector
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Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
darthstitch- Membre d'honneur
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- Message n°93
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
J'aime cette vision hard de DD, vivement la semaine prochaine
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Logan- Rédacteur / Editor
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- Message n°94
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Ca castagne sévère
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Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
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Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Ça vas faire mal!!!
jarvis69- Admin
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Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
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Galactus- Membre d'honneur
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- Message n°98
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Critique des 5 premiers épisodes écran large
À l’heure où les super-héros sur petit écran semblent coincés entre trahisons minables (Gotham) et esthétique teenage, voir débarquer une série véritablement mature, tirant parti des exigences d’un public de plus en plus adulte tenait du doux rêve. C’est pourtant le petit tour de force que Netflix est en passe de réussir avec son Daredevil.
La tâche était pourtant ardue, rendre crédible ce personnage par essence borderline d’avocat se transformant en justicier anonyme la nuit tombée était en soi un défi, d’autant plus grand que la précédente adaptation (avec Ben Affleck) avait durablement ridiculisé la licence.
RETOUR AUX SOURCES
Drew Goddard et Steven S. DeKnight se sont donc focalisés sur trois points essentiels, piliers de la réussite du show. La premier d’entre eux est le retour aux sources. En effet, Daredevil tranche radicalement avec l’esthétique clinquante des productions de la maison Marvel. Point de photographie de papier glacé ici, nul humour tapageur et aucune perche tendue au public adolescent. Le cœur de la série provient de son matériau de base, le comics.
On retrouve ainsi des références évidentes aux travaux de Miller et Brubaker, répartis très harmonieusement selon les différents arcs chronologiques, ou tout simplement pensés pour s’accorder à certaines tonalités, à des lieux bien spécifiques. Par conséquent, si l’on n’a jamais le sentiment d’assister à un décalque stérile de l’œuvre originale (Sin City ? Vous avez dit Sin City ?), son influence est prégnante à chaque instant et donne à l’ensemble une patte graphique extrêmement appréciable.
PLEIN LES YEUX
Autre segment fondamental, l’exigence cinématographique. Car c’est bien de cinéma dont il est question ici, comme en témoigne la superbe baston en plan séquence qui clôt le deuxième épisode des cinq que Netflix nous a permis de découvrir. La caméra y rejoue une des scènes emblématiques de Old Boy, dont elle simplifie le dispositif en y ajoutant une notion de profondeur particulièrement ludique.
De même, l’ensemble des scènes d’action est un exemple saisissant de rigueur, de sobriété alliée à un véritable sens du spectacle, voire d’écriture. Car plus encore que la recherche un peu artificielle de l’impact (bien présent, tant certains coups font mal), c’est la représentation de lutte interne du personnage que pose ici la mise en scène.
Regarder Charlie Cox combattre, c’est assister aux dilemmes qui traversent Daredevil, ses hésitations, les pulsions de violence qui l’habitent et le transcendent. Ainsi le spectateur frémit-il, alors que chaque confrontation ne demande qu’à s’achever dans un bain de sang.
La photographie en général, tout comme le découpage, ne sont pas en reste. Au-delà des révérences envers le comics, on retrouve le travail exemplaires des équipes de Netflix sur l’image. Cadres parfaitement découpés, couleurs travaillées pour obtenir un e tessiture inédite, qui oscille intelligemment entre textures graphiques et réalisme brut ainsi qu’une réflexion simple mais rigoureuse sur l’utilisation du clair obscur confèrent au show une patine dont bien des super-héros aimeraient bénéficier.
JUSTICE LEAGUE
Ces qualités retomberaient à plat si le casting n’était pas lui aussi une belle réussite. Quiconque a suivi Boardwalk Empire se souvient du mélange de charme et de révoltante brutalité que déployait Charlie Cox. Le comédien insuffle ici la même ambiguité à Murdoch, alias Daredevil. Son héros se fait tour à tour idéaliste, brutal, fragile, humaniste et impitoyable. Toujours sur le point de rompre, en permanence sur le point d’exploser.
Face à lui, Vincent D’Onofrio livre une version trouble du Caïd, sorte de synthèse de ses différentes incarnations. Plus tout à fait le mystérieux mogul de Miller, physiquement impressionnant quoi que très éloigné des comics faisant de lui un imparable combattant sumo, il est une forme particulièrement instable de psychopathe, habité et torturé, encore en gestation, que l’intervention de Daredevil va pousser à se révéler dans toute sa brutalité.
S’il est encore trop tôt pour savoir si les personnages campés par Rosario Dawson, Deborah Ann Woll ou Elden Henson seront plus que de sympathiques sidekicks, tout le monde s’acquitte très convenablement du job.
SANG POUR SANG MARVEL ?
Difficile de dire si la série saura conserver les qualités qui font actuellement sa force. Issue d’un deal historique en ABC, Marvel et Netflix, le show est sans conteste le plus adulte, sombre et violent jamais adapté de l’écurie à super-héros chère à Disney. Il est également le premier de quatre séries consacrées à divers héros secondaires de l’univers Marvel (Jupiter Jones, Luke Cage…).
Difficile donc de savoir si la saison conservera tout du long sa hargne remarquable, il est tout aussi hasardeux de pronostiquer si le show parviendra à sauvegarder sa patte face à des productions voisines peut-être plus ouvertement tournées vers le grand public. Bref, Daredevil est encore un grand point d’interrogation.
Une chose est sûre, si la série semble rompre totalement avec les canons esthétiques mis en place par Marvel (en terme de violence notamment), le début de réponse qu’elle apporte s’avère des plus passionnants.
À l’heure où les super-héros sur petit écran semblent coincés entre trahisons minables (Gotham) et esthétique teenage, voir débarquer une série véritablement mature, tirant parti des exigences d’un public de plus en plus adulte tenait du doux rêve. C’est pourtant le petit tour de force que Netflix est en passe de réussir avec son Daredevil.
La tâche était pourtant ardue, rendre crédible ce personnage par essence borderline d’avocat se transformant en justicier anonyme la nuit tombée était en soi un défi, d’autant plus grand que la précédente adaptation (avec Ben Affleck) avait durablement ridiculisé la licence.
RETOUR AUX SOURCES
Drew Goddard et Steven S. DeKnight se sont donc focalisés sur trois points essentiels, piliers de la réussite du show. La premier d’entre eux est le retour aux sources. En effet, Daredevil tranche radicalement avec l’esthétique clinquante des productions de la maison Marvel. Point de photographie de papier glacé ici, nul humour tapageur et aucune perche tendue au public adolescent. Le cœur de la série provient de son matériau de base, le comics.
On retrouve ainsi des références évidentes aux travaux de Miller et Brubaker, répartis très harmonieusement selon les différents arcs chronologiques, ou tout simplement pensés pour s’accorder à certaines tonalités, à des lieux bien spécifiques. Par conséquent, si l’on n’a jamais le sentiment d’assister à un décalque stérile de l’œuvre originale (Sin City ? Vous avez dit Sin City ?), son influence est prégnante à chaque instant et donne à l’ensemble une patte graphique extrêmement appréciable.
PLEIN LES YEUX
Autre segment fondamental, l’exigence cinématographique. Car c’est bien de cinéma dont il est question ici, comme en témoigne la superbe baston en plan séquence qui clôt le deuxième épisode des cinq que Netflix nous a permis de découvrir. La caméra y rejoue une des scènes emblématiques de Old Boy, dont elle simplifie le dispositif en y ajoutant une notion de profondeur particulièrement ludique.
De même, l’ensemble des scènes d’action est un exemple saisissant de rigueur, de sobriété alliée à un véritable sens du spectacle, voire d’écriture. Car plus encore que la recherche un peu artificielle de l’impact (bien présent, tant certains coups font mal), c’est la représentation de lutte interne du personnage que pose ici la mise en scène.
Regarder Charlie Cox combattre, c’est assister aux dilemmes qui traversent Daredevil, ses hésitations, les pulsions de violence qui l’habitent et le transcendent. Ainsi le spectateur frémit-il, alors que chaque confrontation ne demande qu’à s’achever dans un bain de sang.
La photographie en général, tout comme le découpage, ne sont pas en reste. Au-delà des révérences envers le comics, on retrouve le travail exemplaires des équipes de Netflix sur l’image. Cadres parfaitement découpés, couleurs travaillées pour obtenir un e tessiture inédite, qui oscille intelligemment entre textures graphiques et réalisme brut ainsi qu’une réflexion simple mais rigoureuse sur l’utilisation du clair obscur confèrent au show une patine dont bien des super-héros aimeraient bénéficier.
JUSTICE LEAGUE
Ces qualités retomberaient à plat si le casting n’était pas lui aussi une belle réussite. Quiconque a suivi Boardwalk Empire se souvient du mélange de charme et de révoltante brutalité que déployait Charlie Cox. Le comédien insuffle ici la même ambiguité à Murdoch, alias Daredevil. Son héros se fait tour à tour idéaliste, brutal, fragile, humaniste et impitoyable. Toujours sur le point de rompre, en permanence sur le point d’exploser.
Face à lui, Vincent D’Onofrio livre une version trouble du Caïd, sorte de synthèse de ses différentes incarnations. Plus tout à fait le mystérieux mogul de Miller, physiquement impressionnant quoi que très éloigné des comics faisant de lui un imparable combattant sumo, il est une forme particulièrement instable de psychopathe, habité et torturé, encore en gestation, que l’intervention de Daredevil va pousser à se révéler dans toute sa brutalité.
S’il est encore trop tôt pour savoir si les personnages campés par Rosario Dawson, Deborah Ann Woll ou Elden Henson seront plus que de sympathiques sidekicks, tout le monde s’acquitte très convenablement du job.
SANG POUR SANG MARVEL ?
Difficile de dire si la série saura conserver les qualités qui font actuellement sa force. Issue d’un deal historique en ABC, Marvel et Netflix, le show est sans conteste le plus adulte, sombre et violent jamais adapté de l’écurie à super-héros chère à Disney. Il est également le premier de quatre séries consacrées à divers héros secondaires de l’univers Marvel (Jupiter Jones, Luke Cage…).
Difficile donc de savoir si la saison conservera tout du long sa hargne remarquable, il est tout aussi hasardeux de pronostiquer si le show parviendra à sauvegarder sa patte face à des productions voisines peut-être plus ouvertement tournées vers le grand public. Bref, Daredevil est encore un grand point d’interrogation.
Une chose est sûre, si la série semble rompre totalement avec les canons esthétiques mis en place par Marvel (en terme de violence notamment), le début de réponse qu’elle apporte s’avère des plus passionnants.
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darthstitch- Membre d'honneur
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- Message n°99
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Très probante cette critique, qui confirme la version hardcore et non édulcoré à la sauce disney
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- Message n°100
Re: 2015 - DAREDEVIL (Netflix)
Galactus a écrit:Il est également le premier de quatre séries consacrées à divers héros secondaires de l’univers Marvel (Jupiter Jones, Luke Cage…).
Ils sont trop forts chez eux !!! il y a toujours quelque chose pour révéler leur manque de maitrise du sujet... et non Jupiter Jones l'héroïne du dernier film des Wachowski (Jupiter Ascending) n'est pas une héroïne Marvel, la femme de Luke Cage héroïne de la série Alias chez Marvel est Jessica Jones... Bravo !
Et Alias chez Marvel n'a rien à voir avec la série TV de Jennifer Garner (Elektra) sinon la on s'embrouille
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