Alors que nous arrivons au dix années d'ancienneté du support, qu'en est-il de son prédécesseur le bon vieux DVD standard définition.
A en croire une récente enquête menée par les distributeurs vidéo français il se vend encore plus de DVD que de blu-ray sur le territoire. Pour un distributeur il est donc plus facile de prévoir le nombre d'édition pour les DVD que pour les blu-ray notamment pour les titres qui ne font pas l'objet d'effets spéciaux ou de bande son mettant en valeur la HD. Prenons le titre "quesqu'on a fait au bon dieu" gros réussite salle. Beaucoup plus de DVD que de blu-ray sont prévus (80% pour les DVD) ce qui ne laisse pas beaucoup de place au blu-ray, pourtant proposé au même prix.
Il faut viser les titres comme "Gravity" pour arriver à environ 50 % de vente blu-ray, 3D et 2D confondus.
Voilà pourquoi les éditeurs jonglent avec les éditions "combo" ou nous pouvons trouver 1 DVD + 1 blu-ray 2D et enfin un blu-ray 3D. Le prix étant pour le coup élevé aux environs de 30 euros.
Les spectateurs home-cinéphil n'ont pas fait encore pour la plus grande partie le grand saut menant à la haute définition, et ce n'est pas l'UHD qui devrait les convaincre car le phénomène ne doit être alimenté par une galette ultra HD qu'à partir de la fin d'année 2015. Donc dans les bacs courant 2016.
Seuls les offres VOD et SVOD proposent du contenu UHD. Pas de quoi se ravir les mirettes
Netflix offre la possibilité de visionner ce genre de contenu sur quelques programmes, (encore faut-il être équipé) à un tarif plus onéreux. Seulement voilà, tous ne seront pas égaux devant la qualité de restitution internet qui les alimentent.
A en croire une récente enquête menée par les distributeurs vidéo français il se vend encore plus de DVD que de blu-ray sur le territoire. Pour un distributeur il est donc plus facile de prévoir le nombre d'édition pour les DVD que pour les blu-ray notamment pour les titres qui ne font pas l'objet d'effets spéciaux ou de bande son mettant en valeur la HD. Prenons le titre "quesqu'on a fait au bon dieu" gros réussite salle. Beaucoup plus de DVD que de blu-ray sont prévus (80% pour les DVD) ce qui ne laisse pas beaucoup de place au blu-ray, pourtant proposé au même prix.
Il faut viser les titres comme "Gravity" pour arriver à environ 50 % de vente blu-ray, 3D et 2D confondus.
Voilà pourquoi les éditeurs jonglent avec les éditions "combo" ou nous pouvons trouver 1 DVD + 1 blu-ray 2D et enfin un blu-ray 3D. Le prix étant pour le coup élevé aux environs de 30 euros.
Les spectateurs home-cinéphil n'ont pas fait encore pour la plus grande partie le grand saut menant à la haute définition, et ce n'est pas l'UHD qui devrait les convaincre car le phénomène ne doit être alimenté par une galette ultra HD qu'à partir de la fin d'année 2015. Donc dans les bacs courant 2016.
Seuls les offres VOD et SVOD proposent du contenu UHD. Pas de quoi se ravir les mirettes
Netflix offre la possibilité de visionner ce genre de contenu sur quelques programmes, (encore faut-il être équipé) à un tarif plus onéreux. Seulement voilà, tous ne seront pas égaux devant la qualité de restitution internet qui les alimentent.