Le modèle original de la Batmobile, qui date de 1966, a été vendu aux enchères samedi soir aux Etats-Unis pour 4,2 millions de dollars à un particulier.
Un fan de l'hommechauve-souris a acquis samedi pour 4,2 millions de dollars (3,15 millions d'euros) le modèle original de la Batmobile, qui date de 1966, lors d'une vente aux enchères organisée à Scottsdale, dans l'Arizona. Rick Champagne, propriétaire d'une compagnie de logistique dans la région de Phoenix, est reparti au volant du biplace futuriste apparu dans la série télévisée Batman, incarnée par Adam West entre 1966 et 1968, puis dans l'adaptation cinématographique éponyme.
"J'aimais vraiment Batman quand j'étais enfant et je suis venu ici avec l'intention d'acheter la voiture", a déclaré Champagne, 56 ans. "J'étais certain de pouvoir l'acheter. C'est un rêve qui devient réalité."
La vente, organisée par la maison Barrett-Jackson, est la première de ce type pour la Batmobile de la série télévisée, dont le design est basé sur le concept car de la Lincoln Futura, dévoilée en 1955 et retravaillée par George Barris pour les besoins de la fiction.
Un fan de l'hommechauve-souris a acquis samedi pour 4,2 millions de dollars (3,15 millions d'euros) le modèle original de la Batmobile, qui date de 1966, lors d'une vente aux enchères organisée à Scottsdale, dans l'Arizona. Rick Champagne, propriétaire d'une compagnie de logistique dans la région de Phoenix, est reparti au volant du biplace futuriste apparu dans la série télévisée Batman, incarnée par Adam West entre 1966 et 1968, puis dans l'adaptation cinématographique éponyme.
"J'aimais vraiment Batman quand j'étais enfant et je suis venu ici avec l'intention d'acheter la voiture", a déclaré Champagne, 56 ans. "J'étais certain de pouvoir l'acheter. C'est un rêve qui devient réalité."
La vente, organisée par la maison Barrett-Jackson, est la première de ce type pour la Batmobile de la série télévisée, dont le design est basé sur le concept car de la Lincoln Futura, dévoilée en 1955 et retravaillée par George Barris pour les besoins de la fiction.